Introduction
La notion de données acquises de la science est une notion essentielle car elle sert de référentiel professionnel, déontologique et juridique. En effet et bien que la loi Kouchner conditionne l’obligation de moyens au respect des connaissances médicales avérées, la mission qui est confiée par le magistrat à l’Expert comporte toujours cette même question clé pour engager la responsabilité du praticien : Les soins ont-ils été attentifs, consciencieux, diligents et conformes aux données acquises de la science médicale ? lire l'article + bibliographie
Introduction
Dissocier parodonte et dents et /ou implants est impossible. Interdépendants les uns des autres, il est donc évident qu’une action sur l’un des tissus entraîne une répercussion sur l’autre. C’est pourquoi depuis le diagnostic jusqu’à la réalisation du plan de traitement et, même pour le suivi et maintenances, il est obligatoire d’informer nos patients des contraintes, conséquences de chaque acte et de l’importance de respecter une chronologie particulière dans le cadre de traitements pluridisciplinaires. Lorsque plusieurs compétences sont indiquées en orthodontie, implantologie, parodontie et prothèses, il est nécessaire parfois de déléguer mais l’essentiel est que chaque praticien impliqué dans le plan de traitement donne les informations utiles et réglementaires au patient. Dans le cas contraire, le préjudice peut entrainer un dommage qui conduirait à une faute devant être réparée. lire l'article + bibliographie
La MACSF a publié en 2020 un rapport de la sinistralité de 2019. L’implantologie concerne 19,4 % de déclarations soit 298 déclarations. La MACSF catégorisent ces
déclarations en 3 groupes : le premier groupe concerne que la phase chirurgicale, correspondant à 35,6% de l’ensemble des actes d’implantologie. La prothèse implanto-portée est mise en cause dans
85 déclarations, soit 27,5%,de l’ensemble des actes d’implantologie. La majeure partie concernent les restaurations fixes, pour 41 déclarations. Ensuite, l’assureur avance un groupe mixte, où des
manquements cumulés potentiels sont allégués dans les deux phases de la réhabilitation. Cela concerne 108 déclarations, soit 36% des actes d’implantologie. Lire l'article +
bibliographie
Introduction
La prise en charge des patients atteints de SAHOS par l’OAM, est une solution d’avantage prescrite par les médecins spécialistes du sommeil. Si les conditions cliniques sont respectées, son aspect peu encombrant et les résultats cliniques très satisfaisants en font une option de choix dans la thérapeutique.
Le praticien prenant en charge le patient qui lui est adressé pour une OAM s’expose néanmoins à des difficultés dans le cadre de la thérapeutique. Il est nécessaire,
dans un contexte de plus en plus procédurier, d’identifier les sources de litige potentiels dans ce contexte. Trois axes sont explorés dans ce travail: rappeler les responsabilités et obligations
du praticien dans ce contexte ; identifier également ces sources de litiges pour mieux les prévenir et les gérer ; détailler les points sensibles qui sont très fréquemment mis en exergue dans le
cadre conflictuel avec les patients. lire l'article + bibliographie
avec Caroline PAUL : Rôle du chirurgien-dentiste dans le diagnostic du cancer primitif
avec Elisa CHOUKROUN : Prévalence et conséquences de l’hypovitaminose D : pandémie à répercussions bucco-dentaires
avec Morgan CHICHEPORTICHE : Préservation de l'os crestal vestibualaire par la technique du rempart alvéolaire "the socket-shield technique".