Introduction
Selon Albrektsson et Coll. en 2014, plus de 12 millions d’implants sont posés annuellement à travers le monde avec des taux de survie implantaire, dans les situations de prothèse unitaire, d’environ 95 % à 10 ans (14). Ce volume important d’implants posés s’accompagne malheureusement de complications dont les formes varient en fonction de la chronologie du traitement (22).
Parmi ces complications, qu’elles soient biologiques ou techniques (14, 21, 22) certaines ont pour origine un mauvais positionnement implantaire dans le volume
osseux disponible. Une malposition implantaire se traduit souvent, après ostéointégration, par des protocoles de traitement prothétiques très complexes voire impossibles, indiquant parfois la
dépose de l’implant. article complet et bibliographie
Introduction
Le succès esthétique et fonctionnel à long terme d’une restauration implanto-prothétique est fortement lié au positionnement du ou des implants dans l’environnement osseux résiduel et à son adéquation avec le projet prothétique déterminé (1, 2). Le rapport entre l’axe implantaire et prothétique, l’espace transgingival, la position mésio-distale par rapport aux dents et/ou aux implants adjacents sont autant de facteurs qui déterminent la position tridimensionnelle de l’implant et influent sur le résultat esthétique de la réhabilitation (3, 4, 5).
Mme B. a été reçue en consultation pré-implantaire en octobre 2017 à l’hôpital Rothschild, dans le cadre du Diplôme Universitaire Clinique d’Implantologie
Chirurgicale et Prothétique (Paris VII). Elle était auparavant prise en charge dans un centre dentaire Dentexia sans que sa demande n’ait pu aboutir. Elle souhaite une réhabilitation prothétique
globale. La patiente est âgée de 71 ans et ne présente aucune pathologie nécessitant un traitement médicamenteux (ASA 1) (1). Article complet et
bibliographie
Introduction
En odontologie, les outils numériques font aujourd’hui partie intégrante de la chaîne diagnostique et thérapeutique visant à optimiser la prise en charge des patients. Le défi de la technologie digitale actuelle est d’égaler, sinon dépasser la précision ou l’exactitude des empreintes physico-chimiques ainsi que de celle des enregistrements extra/intra oraux de mouvements mandibulaires imposés pour concevoir des réhabilitations prothétiques dont l’intégration biofonctionnelle devrait être optimale. article complet & bibliographie