Sarah Attal pratiquant l’endodontie exclusivement a su démystifier les échecs dans notre pratique. L’échec principal en endodontie est l’apparition d’une lésion infectieuse ou une fracture. Cependant il faut savoir placer son curseur. La pulpite n’est-elle pas déjà l’échec de la carie ? L ’échec de notre prévention ? lire la suite
Un cabinet dentaire, c’est aussi une entreprise ! Il se doit donc d’être productif pour proposer un plateau technique de qualité, absorber une demande importante (notamment dans les zones où il y a un manque d’offre de soins dentaires), offrir un environnement propice à la réalisation de soins de qualité dans un cadre le plus agréable possible aux patients… La productivité visée doit se faire dans l’intérêt du patient et oblige donc à mener une réflexion éthique pour être atteinte. lire la suite
L’introduction de la conférence avait été faite par Jacob Amor, cependant du fait d’un problème de transport (on remerciera la RATP), seule la partie sur l’obturation canalaire, le choix des biocéramiques de Guillaume Jouanny sera retranscrit ci dessous. lire la suite
Le choix de la thérapeutique chirurgicale permettant de recouvrir une récession parodontale dépend des caractéristiques anatomiques locales (hauteur et largeur de la dénudation radiculaire et des tissus mous interdentaires etc.) et des exigences du patient. Sofia Aroca a tout d’abord rappelé que les récessions parodontales sont associées à des lésions cervicales non carieuses (LCNC ) dans plus de 46 % des cas (Cortellini et Bissada, 2018). lire la suite
La grande salle de conférences est comble. La salle dans laquelle est projetée la retransmission en direct l’est davantage. Dans une scénographie quadrifrontale, Jean-Pierre Attal et Gil Tirlet reviennent sur la dentisterie adhésive. Suivant leur fameux et désormais incontournable gradient thérapeutique, les héritiers de Michel Degrange nous présentent de manière interactive des cas pour nous transmettre des messages clés et nous aider au quotidien. lire la suite
La conférence n’a concerné uniquement que le remplacement de dents dans le secteur antérieur. Lorsqu’une dent est non conservable et que le praticien a choisi d’opter pour une solution implantaire, il existe 3 possibilités : ... lire la suite
Nous posons de plus en plus d’implants, c’est la péri implantite est donc un problème de plus en plus fréquent qui peut avoir des conséquences sur la santé générale. Aujourd’hui il n’existe pas de gold standard dans le traitement des péri implantites, c’est donc du cas par cas. lire la suite
Cette séance a pour but de sensibiliser le praticien sur sa visibilité sur internet et sur l’importance exponentielle que prend internet dans la vie de nos patients. Parlons de nous d’abord : qui n’a jamais regardé les avis TripAdvisor pour choisir entre un restaurant A ou B ? entre l’hôtel C ou D pour nos vacances ? Ce besoin actuel de se forger une opinion avant de vivre un évènement est déjà très ancré dans nos vies, et c’est pareil pour nos patients qui prennent rdv ! lire la suite
J’aimerais revenir sur un match intéressant : 2 céramiques, la Zircone et le Disilicathe de lithium. Elles sont de plus en plus utilisées avec l’essort du numérique et de l’usinage des prothèses à partir de ces mêmes empreintes. Cependant, elles n’ont pas les mêmes caractéristiques techniques et leur assemblage est différent. Ainsi, nous allons voir, selon plusieurs critères, les indications de l’une ou l’autre, pour ensuite décider de la meilleure à mettre en place. lire la suite
Cette conférence a traité des différents traitements que nous sommes amenés à rencontrer dans notre pratique. La première partie concernant les bisphosphonates a été traitée par Vanessa Baaroun, la seconde sur les anti-thrombotiques par J. Hugues Catherine et enfin celle sur les anticancéreux par A. Gaëlle-Bodard. lire la suite
Dans une salle comble, le Mastermatch du jour a opposé Julien Brousseaud, qui présentait le concept de la RMIPP, à Pascal de March, qui lui présentait celui de l’inlay core, tout cela sous la direction de Franck Decup. Il est recommandé de réaliser un tenon anatomique où un tenon préformé peut être utilisé pour la prise d’empreinte conventionnelle. Celui-ci permettra de maintenir le matériau à empreinte. Le tenon préformé métallique ne doit pas dépasser 1,4 mm de diamètre et doit posséder une tête rétentive. Il est utile de rappeler que l’inlay core (IC) doit s’affranchir de toutes contraintes internes. lire la suite